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Sommes nous toutes et tous des sorcières, des sorciers ?

Sommes-nous toutes et tous des sorcières, des sorciers? Étymologiquement, la sorcière est une «jeteuse de sorts», une faiseuse de sortilèges. Suis-je, es-tu capable de sortilèges ? Oui, bien sûr. Nous pratiquons tous la magie au quotidien, et souvent sans le savoir. La magie consiste à utiliser les ondes, les énergies de notre univers, celles que les physiciens quantiques étudient aujourd’hui. La méthode Coué, la pensée positive, la loi d’attraction... sont des applications modernes de la magie blanche. La prière, quelle que soit la liturgie pourvu qu’elle soit sincère, est un moyen ancestral de mettre en œuvre la magie de l’univers. Alors n’hésitons pas à être des jeteuses de bons sorts, mettons les énergies à notre service, c’est leur rôle. Pratiquons la pensée positive, verbalisons nos demandes d’aide et de soutien à l’univers, ne nous privons pas de cette aide généreuse et altruiste qui est là pour nous. Soyons des faiseuses de sortilèges. A l’opposé, la médisance, les pensées négatives, les paroles jalouses constituent de la magie noire. Leur auteur actionne les mêmes ondes, mais au service de mauvaises intentions. Les sorcières «professionnelles» (c’est-à-dire celles qui pratiquent « l’art de la magie » en conscience), connaissent le prix à payer pour un sort négatif. Et du coup se gardent bien d’en proférer, car il revient en boomerang à son auteur. Les fameux « Accords Toltèques » nous mettent bien en garde: soigne ta parole. Nos grands-mères aussi nous l’ont dit: tourne sept fois ta langue dans ta bouche. Mais alors, si nous sommes toutes et tous des jeteuses et jeteurs de sorts, si nous actionnons tous la magie dans nos vies, cela fait-il de nous pour autant des sorcières et des sorciers? Non. Les sorcières et les sorciers sont, je l’ai écrit plus haut, ceux qui pratiquent magie et sorcellerie comme un art. En conscience. La mode actuelle chez les media est de qualifier toute femme libre et rebelle de sorcière. Ces gens ne connaissent pas la réalité de la sorcellerie pour écrire de telles sottises. Et surtout la nient. Je ne suis pas sorcière. Mais je suis une femme libre, rebelle, qui utilise la magie de l’univers, telle que je viens de vous l’expliquer plus haut. Par contre je connais assez de sorcières pour ne pas avoir l’arrogance de me faire passer pour l’une d’entre elles. La sorcellerie, la magie sont une science et même un art complexe et dangereux. Parmi ceux qui la pratiquent, on rencontre comme partout ailleurs de lumineuses personnes, comme d’autres qui sont moins belles. C’est pareil chez les psychologues, les dentistes et les chocolatiers. Les media confondent l’archétype de la sorcière tel qu’il a été défini par l’Inquisition pendant les massacres de la Renaissance et la figure réelle de la sorcière. Ce faisant ces media nient que les véritables sorcières existent. Oui, parmi les victimes des bûchers se trouvaient des personnes qui ne pratiquaient ni la magie ni la sorcellerie. Dénoncées par un voisin jaloux, ou coupables d’être nées rousses, oui, des amalgames ont été faits. Mais parmi ces victimes se trouvaient avant tout de véritables sorcières et sorciers. Des femmes et hommes encore qualifiés de « sages » quelques années auparavant. Qui étaient guérisseuses, mais aussi oracles et jeteuses de sorts. Ces sciences existent vraiment, elles ne sont pas mauvaises, elles sont simplement les survivantes du savoir et de la spiritualité de nos ancêtres païens. Cette semaine un prêtre polonais a brûlé un exemplaire de Harry Potter, qualifiant les aventures de ce jeune sorcier de sataniques. Il s’est fait remonter les bretelles et s’est excusé. Mais cela illustre que la haine pour ces savoirs et pratiques anciennes est encore vivace dans nos sociétés. La haine! et la peur... Peur de nous voir toutes et tous nous approprier le principe de pensées positives, de réaliser que tout est énergie, y compris nos pensées et nos paroles. Je comprends que cela fasse peur à certains. Imaginez le monde si nous prenions conscience de ça. Nous deviendrions autonomes en pensée, nous éviterions toute négativité: sur nos écrans, dans nos assiettes et dans nos vies. Damned ! Le paradis sur Terre... 😉


Adélise Lapier




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